Nous l’attendions avec impatience après un Mont Bromo en demi-teinte avec une météo qui nous a laissé sur notre faim. Nous voici ce soir à Banyuwangi, au pied du volcan Kawah Ijen. Pourquoi est-il si connu ? Un lac d’un bleu apatite qui ferait pâlir le ciel de jalousie, accompagné d’une mer de nuages et de la « vraie »mer. Vient avec une réalité difficile : celle des fumerolles et des mineurs qui remontent le souffre sur leur épaule chaque matin.

Kawah Ijen est sans doute l’un des plus beaux panoramas d’Indonésie et surement l’un de nos plus beaux levers de soleil. Pour cette aventure, c’est en autonomie que nous partons cette fois-ci pour une ascension de nuit. Ce n’est vraiment pas sorcier et on vous raconte comment faire dans ce guide ! Allumez votre frontale et partez avec nous à la rencontre des mineurs, du blue fire et d’un lever de soleil magistral.

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🤗 Kawah Ijen : un peu de contexte

Volcan Ijen ou Kawah Ijen ?

“Vous n’avez pas les bases” comme dirait Orelsan. Ce que vous allez voir n’est pas le volcan Ijen mais le Kawah Ijen. En effet, le volcan Ijen est une caldeira (caldeira de Kendeng) c’est-à-dire un énorme chaudron résultat de l’effondrement de la chambre magmatique. Elle se compose de plusieurs cônes et cratères dont les 5 plus hauts sommets que l’on peut voir autour. Cela inclut le volcan Merapi, Jampit, Pawenen et le Kawah Ijen que l’on gravit aujourd’hui.

Autre particularité géologique cette fois, le lac du Kawah Ijen est considéré comme le plus acide de la planète avec un PH inférieur à 0,5. Autrement dit, si vous tombez dedans, vous risquez une mort immédiate. Un endroit idéal pour faire disparaitre un cadavre en soit. L’inhalation des gaz qu’il produit est aussi mortelle sur le moyen voir court terme. D’où le fait de porter un masque à gaz lors de la descente au cratère.

Revenons à nos moutons et écoutons maintenant Vincent, le professeur de SVT que nous avons rencontré sur le chemin et qui nous a fait un cours de rattrapage sur les volcans. Le Kawah Ijen est un volcan actif de type explosif renfermant une mine de souffre à ciel ouvert. Ce sont les volcans les plus destructeurs et dangereux notamment avec les pluies de cendres, projections de blocs ou nuées ardentes. Parmi les exemples les plus connus en Europe, on retrouve  l’Etna, le Stromboli et le tristement célèbre, le Vésuve.

kawah ijen java lever de soleil

Pourquoi le lac du Kawah Ijen est-il bleu turquoise ?

La couleur du lac Kawah Ijen provient de deux paramètres majoritairement. Le premier est bien sûr du à son acidité extrême. Comme dans les cartoons, imaginez vous trempez votre doigt dedans et de ne ressortir que les phalanges à nues !

Mais l’acidité n’explique pas entièrement la magnifique teinte de ce lac. Il faut aussi ajouter à la recette une touche subtil de métaux fondus pour obtenir la bonne combinaison.

L’extraction de soufre au Kawah Ijen

A côté du lac, il y a une solfatare d’où est extrait le soufre par les habitants des villages “alentours”. On met des guillemets parce certains habitent jusqu’à 2h de route du cratère, ce n’est donc plus de la proximité à cette distance.

A quoi sert le souffre ?

Le soufre est utilisé pour faire de l’acide sulfurique, l’un des composants chimiques les plus utilisés dans l’industrie. On le retrouve principalement dans les engrais (60% de la production), dans l’industrie du textile artificiel, le traitement des minerais, le raffinage du pétrole, les cosmétiques… 

Notre rencontre avec Samu

Visiter Kawah Ijen, c’est aussi marcher aux côtés des mineurs. Ils sont 300 à être employés ici. Leurs conditions de travail sont extrêmement difficiles. Sur le chemin, nous rencontrons Samu qui part au travail. Il parle seulement quelques mots de français mais c’est suffisant pour que l’on se comprenne. Il nous propose de nous accompagner jusqu’en bas du cratère « parce que le chemin est dangereux ». Nous ne serons pas impressionnés par le danger des rochers mais plutôt par son témoignage. Il nous raconte son quotidien.

Commençons donc ensemble cette ascension, accompagnés de Samu. On est pas sûr qu’il a beaucoup travaillé aujourd’hui car nous n’avons pas vu d’ouvrier à la besogne !

🥾 La randonnée : notre ascension du Kawah Ijen avec Samu

Samu à 35 ans. Il est marié et a un enfant de 3 ans. Cela fait 15 ans qu’il a commencé le métier de mineur dans le cratère du Kawah Ijen. Il a appris à parler français au gré des touristes qu’il rencontre le matin.

La vie de mineur dans la carrière de souffre du Kawah Ijen

Debout tous les jours à 00h, 2h de moto pour rejoindre le bas du Kawah. Ensuite il faut d’abord grimper les 600 mètres de dénivelé du Kawah Ijen pour arriver à 2148m d’altitude, point culminant. Puis descendre dans le cratère pour aller chercher son dur tribut. 70 à 90 kilos de souffre sont répartis dans deux paniers qu’il porte sur son épaule. Deux à trois aller / retour par jour car bien sur il faut remonter le chemin, si ce n’est escalader, les tas de pierre qui servent de chemin vers le blue fire. 

Le salaire ? Moins de 10€ la journée. Le kilo vaut 1200 roupies indonésienne (0,08€), à partager avec les autres mineurs. En effet, ils travaillent en coopérative pour espérer toucher 5 à 6€ de manière journalière. Certains minent à l’intérieur de la solfatare, d’autres montent les roches pendant que certains s’occupent du pesage et de la vente. Les plus âgés travaillent à la cuisine ou à l’entretien. C’est une entreprise chinoise qui exploite les mines. Sur les photos, vous verrez un ensemble de gros tuyaux qui servent à intensifier la condensation du gaz et ainsi produire plus.

Pas de protection contre les émanations de souffre, une épaule creusée par le poids des paniers, des poumons détruits.. l’espérance de vie moyenne atteint à peine les 45 ans. Alors que nous montons le Kawah Ijen sans difficulté, Samu s’essouffle rapidement.

Ascension du Kawah Ijen : ce qu’il faut retenir de la montée

600 mètres de dénivelé étalés sur 3 km, l’ascension volcan du Kawah Ijen n’est pas une randonnée difficile bien que le chemin soit un tantinet raide.

Passé le péage, il faut environ 1 heure pour atteindre le haut du cratère. Nous avons mis 45 minutes car même si il ne faisait pas très froid, nous avions besoin de nous réchauffer un peu et étions déterminé à arriver dans les premiers pour éviter une file d’attente au blue fire.

Les ¾ du chemin n’ont pas d’intérêt particulier dans le noir. L’ascension se fait de nuit pour ceux qui veulent admirer le levé du soleil depuis le sommet. Nous sommes interloqués par d’autres types de porteurs poussant des touristes “confortablement” installés dans une chariote. Le récit de Samu capte toute notre attention. On apprendra notamment que Nicolas Hulot est venu faire un reportage sur les mineurs pour le compte du programme Ushuaia.

Quelques “supérettes” vendent des sodas et friandises, une grande cabane sert à peser et au paiement, une poignée de mineurs vendent des sculptures en souffre. On entend sans forcer que Samu a du mal à respirer même avec des pauses régulières et une allure modérée. C’est la première fois que nous sommes plus à l’aise physiquement qu’un “guide” dans une montée.

Il reste 10 minutes de marche, les yeux commencent à piquer et notre gorge asséchée, irritée. Pourtant ce ne sent pas l’oeuf pourri, l’odeur emblématique du souffre et il y a quelques minutes tout allait bien. Etrange.

Descente à l’intérieur du Kawah Ijen et flammes bleues

Nous sommes parmi les premiers à avoir atteint le haut du cratère et à descendre dans le Kawah Ijen. Au fond, on les voit : les flammes bleues ou blue fire. Attention à ne pas trop vous hâter pour descendre, le chemin est assez raide et le terrain difficile, encore plus éclairé seulement par la frontale. Ce serait dommage de finir dans le lac.

Arrivés en bas, nous sommes 4 à pouvoir profiter du spectacle. Quand on regarde en arrière la fourmilière de lampes dans le noir qui descend dans le cratère, on se sent très chanceux. Comme quoi, marcher vite, ça paye. Une vraie descente aux flambeaux en pleine vacances d’hiver de Février !

Les flammes se forment quand les vapeurs de souffre atteignent une certaine température. C’est absolument magnifique (et un peu flippant parce que les vapeurs qui s’échappent sont très proches). 10 minutes plus tard c’est la foire. les touristes sont à deux doigts de se pousser dans le lac pour être un peu plus près du feu bleu. On remonte sans plus attendre après quelques clichés abstraits. Il n’est pas possible de voir le blue fire en journée, il faut donc y arriver lorsqu’il fait nuit noire.

Lever du soleil sur la Caldeira

Arrivés en haut, nous disons au revoir à Samu. Dès que les touristes seront partis, il commencera sa deuxième descente de la journée, en théorie. 

Nous, on bifurque sur la gauche pour rejoindre le point de vue le plus éloigné pour être témoin du réveil du soleil. D’un côté, la mer, de l’autre le lac acide de Kawah Ijen. Les cônes et autres volcans de la caldeira nous entourent. Parmi eux, le Merapi par exemple. 

L’espace est assez grand et on ne se marche pas les uns sur les autres. Quand le soleil pointe le bout de son nez, nous retenons tous notre souffle. De l’autre côté, les nuages continuent de danser avec le lac en contrebas. C’est d’ailleurs à ce moment qu’on réalise le vraie couleur de l’eau.

Les ouvriers en plein travail

Cela peut faire défaut dans le paysage d’une mine à ciel ouverte : l’absence des ouvriers. Nous n’avons pas croisé à ce moment là. 

Pour aller plus loin sur les conditions de travail difficiles des mineurs, nous vous invitons à lire cet article de Pierrick Bigot dédié à leur travail. Les photos sont superbes et illustrent bien certains constats que l’on a pu faire par nous même en Indonésie.

🤓 Comment visiter le Kawah Ijen en autonomie ?

Il n’y a rien de plus simple ! Si le Bromo demande peut être un peu plus de logistique, le Kawah Ijen se fait très simplement seul de manière indépendante si vous savez conduire un scooter. 

Première étape : louer un scooter

Trouver un scooter assez puissant pour monter au début de la randonnée et surtout avec des freins en bon état. En effet, la difficulté vient de la descente et de freins qui peuvent surchauffer et se briser. On vous conseille un N-Max (150) ou un 125 (il peut manquer de puissance par moment pour monter).

voir le lever de soleil sur ijen a java

Deuxième étape : acheter un poncho et louer un masque à gaz

Se munir d’un poncho pour affronter la pluie qui s’installe souvent en bas de la montagne pendant la nuit vous permettra de partir sereins. Cela nous a contraints à abandonner notre première tentative. Dans la forêt tropicale, il pleut. La couche de nuages s’arrête quelques minutes plus haut et c’est dégagé en haut du cratère. Si nous avions su ça lors du premier essai, on aurait sans doute continué mais on était déjà trempé…

N’oubliez pas de louer vos masques à gaz, auprès de votre auberge par exemple (au pire, il est possible d’en louer en haut pour 15 000 IDR). 

Troisième étape : se procurer son certificat sanitaire

Depuis Janvier 2024, une nouvelle réglementation est venue s’ajouter à l’entrée du parc. En effet, plusieurs accidents sont arrivés à des touristiques peu préparés. Pour rappel, la randonnée n’est pas extrême mais présente des difficultés. Facilement surmontable si vous êtes en bonne santé et en forme, cela peut vite se compliquer le cas contraire.

Parmi les règles on retrouve le fait d’être accompagné d’un guide, d’être équipé correctement (frontal, chaussures appropriés…) et surtout de réaliser un certificat médical. Sur place ou les jours précédents, ce pass sanitaire n’est finalement qu’un test bénin (prise de tension..). Pour ça, vous pouvez vous rendre à la Klinik Shinta (la moins cher à 40000 IDR), à l’Hopital YasminePuskesmas MojopanggungKlinik Brawijaya ou Klinik Prambanan. En espérant que ce soit la seule fois que vous ayez la chance de comparer le niveau du service de santé entre la France et l’Indonésie.

Quatrième étape : l'entrée du parc et c'est parti !

Ensuite, partez de Banyuwangi à 00h30 direction l’entrée du Parc National du Kawah Ijen.

Une heure de route (et des gouttes d’eau) vous sépare du basecamp, impossible à louper. Arrivés en haut, des guingettes pour prendre un café ou le petit-déjeuner et la cabane pour s’acquitter de l’entrée du parc. Si vous souhaitez échanger avec un mineur comme nous en chemin, il est fort probable que certains viennent naturellement engager la discussion avec vous. On vous conseille de tout de suite leur dire que vous voulez monter seuls si c’est le cas.

💸 Combien ça coûte de visiter le Kawah Ijen en autonomie ou avec un tour ?

Kawah Ijen Tour​

Le prix moyen d’un tour depuis Banyuwangi est de minimum 350 000 IDR (22€) par personne. Cela comprend l’entrée au parc, le transport, la location de masque à gaz et votre guide. Dans la plupart des cas, c’est juste votre chauffeur qui descend avec vous sans trop d’entrain pour la montée qui l’attend.

Kawah Ijen en autonomie

Si vous visitez comme nous le Kawah Ijen en autonomie, voici la décomposition de nos dépenses :

  • 100 000 roupies par personne pour l’entrée du parc national du Kawah Ijen (incluant le parking) + 10 000 de péage en bas de la route ;
  • 15 000 roupies pour l’achat de deux ponchos intégrales que nous avons porté sur le retour ;
  • 15 000  roupies pour la location d’un masque à gaz (30 000 pour deux);
  • 100 000 roupies à la location d’un scooter gros format (150cc), négocié pour un tarif “nuit” ;
  • 100 000 de pourboire pour Samu ;
  • NOUVEAU depuis Janvier 2024 : certificat sanitaire à faire sur place ou les jours précédents l’ascension dans un dispensaire, clinique ou médecin. A partir de 40 000 IDR (2,5€).

Cela nous fait donc un total d’environ 400 000 roupies (soit 20€), pour deux personnes au lieu du double si nous étions passés par un tour. Plus qu’un intérêt financier, nous avons apprécié aller à notre rythme et pouvoir être les premiers à observer les flammes bleues, loin de la fille indienne qui descendait au même moment. De plus, nous avons pu choisir un emplacement à l’endroit que l’on voulait sur le cratère pour le lever du soleil.

Grimper le combo Kawah Ijen et Mont Bromo

Si le temps vous est compté, sachez que des tour proposent un combo Bromo et Kawah Ijen sur 2 jours, 1 nuit (ou l’inverse).

Le premier jour, la jeep vient vous chercher à votre hôtel dans la nuit pour faire la première excursion sur l’un des deux volcans. Ensuite, l’agence s’occupe du transport jusqu’au mont suivant avec une nuit en dortoir dans une auberge. Enfin une « nuit » car vous serez encore une fois réveillé très tôt pour assister à un deuxième lever de soleil !

Prévoyez une bonne journée et nuit suite à l’excursion pour vous reposer car vous allez être fatigué ! 

Cette excursion a un coût d’environ 1 500 000 IDR par personne. Cela peut vraiment être intéressant si vous manquez de temps.

🧳 La check-list pour ne rien oublier dans son sac

On ne part jamais sans une bonne liste ! Veuillez à prendre avec vous :

  • un scooter bien rempli en essence pour la montée;
  • un poncho de pluie;
  • vêtements chauds : polaire, doudoune et imperméable sont vos meilleurs copains seront vos alliés contre le froid;
  • chaussures adaptées à la marche (pour éviter les accidents de type cheville en vrac);
  • masque à gaz;
  • gourde et eau;
  • un peu de cash pour les entrées, le péage, le “guide” et un éventuel café pour vous réveiller.

😴 Où loger pour visiter le Kawah Ijen ?

Avant de partir à l’ascension (ou après), il vous faudra un peu de repos. Si vous partez à 00h30, vous devriez être de retour aux alentours de 8h30. C’est l’occasion de finir votre nuit d’où l’intérêt d’avoir un pied à terre à Banyuwangi.

Nous avons testé deux adresses que l’on vous recommande :

  • Snooze Ijen : très confortable, très bon Wifi, une cuisine et avec un personnel absolument adorable, on ne peut que vous parler du Snooze tant on a aimé y séjourner. Le prix de la chambre est un peu plus élevé que d’habitude, 195 000 roupies (13 € la chambre privée), mais ça vaut le coup !
  • Mango Tree Hostel : une équipe aux petits soins dans un hébergement plus simple, il est possible de louer un masque ici ! Comptez 7€ pour la chambre privée avec salle de bain et air conditionné.

💫 Le mot de la fin…

Le Kawah Ijen est un lieu qu’il faut visiter en allant au-delà de la beauté d’un lac turquoise. Il porte aussi une toute autre histoire que l’on ne peut pas laisser de côté. Intéressez vous à la vie des mineurs, écoutez leur histoire qui ne peut que vous interpeller sur les conditions de travail dans des pays où il fait “si-bon-vivre” pour nous, simples visiteurs.

Nous sommes vraiment contents d’avoir pu le faire une autonomie et avec Samu pour prendre le temps d’échanger. Le paysage stupéfiant est bien entendu un lieu incroyable à découvrir en Asie du Sud-Est mais on vous invite à aller un peu plus loin.

📍Epingle nous pour grimper le Kawah Ijen à Java !

visiter kawah ijen depuis banyuwangi avec nous
guide visiter volcan indonesie

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12 Comments

  1. […] Peu de personnes vont visiter Malang sur l’île de Java en Indonésie. On comprend très vite pourquoi lorsqu’on constate le parcours du touriste normal, qui atterrit le plus souvent à Bali lors d’un séjour en Indonésie. Un tour l’embarque et, en 3 jours, lui fait voir les deux volcans les plus connus de la région : le Mont Bromo et le Kawa Ijen.  […]

  2. Bonjour, je suis en vacances en Indonésie et c’est un plaisir de vous lire. Merci pour tous ces conseils. Hâte de le faire cette nuit.

    • Hello Léa ! Merci pour ton gentil commentaire, profitez bien du Kawah Ijen et n’oubliez pas de faire la visite médicale la veille (on a mis à jour l’article concernant ce nouveau prérequis)

  3. comment prendre contact avec ce gentil Samu ??? Nous allons à Bali fin Mai et pensons pousser jusqu’à Java pour le Kawah Ijen

  4. Hello, je découvre tout juste le blog grâce à tourdumondiste (croisière Komodo)
    Nous partons en famille avec des enfants de 9 et 12 ans, j’ai lu les 2 articles sur les volcans, celui ci me parait un peu plus complexe… penses-tu que c’est gérable ou vaut-il mieux partir sur Kelimutu directement ?
    Merci pour ces beaux articles en tout cas

  5. Bonjour à tous les deux !
    Est-il possible d’avoir les coordonnées de Samu ?
    Merci et bonne journée,
    Marion

    • Hello Marion !
      Malheureusement nous avons rencontré Samu sur le chemin e allant à Ijen et n’avons pas son numéro ! N’hésitez pas à tendre l’oreille, je suis sure qu’ils ne sont pas temps à parler français !

  6. Bonjour à tous les deux,
    Savez-vous si il est possible plutôt d’assister au couché de soleil au lac puis d’attendre que la nuit tombe totalement afin afin d’observer les flammes ? et d’aller tranquillement se coucher après 😉
    Merci

    • Hello Virgine,
      Je ne pense pas que ce soit possible car le parc ferme à 16h30 ! Il va falloir se lever tôt 😉
      Bonne chance !

  7. Bonjour
    Merci pour votre article
    Qui est Samu? Votre guide local? Est-il bien? Si oui pourrions nous avoir ses coordonées?


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