Bienvenue dans le Santander, au sud de la côte Caraïbes intercalé entre l’Est de Santa Marta et le Nord de Bogota. La ville de San Gil en est la capitale touristique, pas pour son charme mais pour sa situation idéale proche des lieux d’intérêts et points de départ de randonnées. Nous avions surtout entendu parler de son parapente à un tarif exceptionnel ou du rafting à San Gil, c’était sur la route.. on s’est dit que ce serait un bon repère pendant la semaine Sainte ! Une fois n’est pas coutume en Colombie : on ne s’attendait à rien de particulier et nous avons été séduits à tout les niveaux !
Capitale des sport extrêmes et outdoor en Colombie mais aussi dotée de nombreux villages magnifiques aux alentours : visiter San Gil c’est la promesse de faire des activités variées, uniques et pour un large éventail de conditions physiques. Ce n’est pas pour rien que la région a inspirée lés créateurs du dessin animé Encanto tant elle est jolie. Allez, on lance le film, vamonos !
🚣♂️ Envie de sensations fortes : faire des sports extrêmes à San Gil
San Gil, c’est la capitale Colombienne des sports outdoors et à sensations. En recherche d’activités qui vous font grimper votre rythme cardiaque ? C’est ici qu’il faut venir.
Pour vous, et à nos risques et périls, nous en avons testé une à San Gil : le rafting classe V (5) sur le Rio Suarez. Malheureusement, la météo aura eu raison de notre possibilité de faire du parapente dans le canyon de Chicamocha. On ne vous laisse pas en plan pour autant puisque, juste en dessous, nous avons regroupé plus d’informations sur les activités que vous pouvez pratiquer depuis San Gil.
On vous conseille de passer par votre auberge pour réserver les activités. Après études des prix pratiqués par les agences directement, c’est la même chose donc pas besoin de s’embêter à faire le tour des propriétaires.
Rafting de niveau 5 sur le Rio Suarez : le rafraîchissant
Suite à notre expérience au Costa Rica sur des rapides de classe IV (4), nous étions restés un peu sur notre faim niveau adrénaline. Plusieurs voyageurs nous ont parlé d’un moment fabuleux en compagnie du Rio Suarez. Il fallait que nous allions tester ça pour laisser une dernière chance à cette activité !
Jusqu’au dernier moment, elle nous a tenu en haleine car nous avons failli passer à côté à cause d’un fleuve trop haut et impraticable. C’est l’avant dernier jour qu’on nous annonce que notre départ pour 16km d’aventure est imminent.
Briefing
Direction l’agence pour remplir les papiers de décharge et rejoindre nos collègues d’expédition. C’est à bord de deux belles embarcations que notre équipe de joyeux fanfarons va affronter le Rio Suarez aujourd’hui. 7 marins à leur bord pour un total de 14 biceps prêt à ramer sec. 1h de route plus tard, nous découvrons l’ampleur du problème : le fleuve est en pleine forme. Pendant 30 minutes nous avons droit à un briefing très complet sur la sécurité à bord.
Comment ça secours ? Vous êtes en train de me dire qu’on peut être pris en plein milieu de ce tourbillon ? On commence à avoir les jambes qui tremblent un peu : de peur ou de hâte.. surement un peu des deux.
C’est parti. 6 dans notre bateau, 3 de chaque côté et notre guide à l’arrière, armée d’énormes pagaies (et des biceps qui vont avec). Son rôle est de nous diriger au travers des turbulents rapides. Avant de partir, quelques exercices dans l’eau pour aider quelqu’un qui a chuté dans l’eau à remonter dans le bateau. La pression monte d’un cran. On pratique une dernière fois la posture du koala ou du superman pour s’accrocher au kayak de secours au cas-où..
Un fois dans l’eau..
Le courant nous aspire vers le premier obstacle. Le premier se passe bien. Le deuxième, on manque de se renverser. Le guide nous rappelle de ne jamais nous arrêter de ramer pour éviter de nous retrouver à nouveau de biais. Les creux de vagues sont de plus en plus grands et c’est vraiment très impressionnant. On rame soit assis sur le bord du bateau, soit à l’intérieur pour éviter d’en tomber.
Connaissez vous le point commun entre la lettre “V” et le rafting ? Dans ma tête, c’est la forme du bateau lorsque l’on est dans le creux d’un rapide ! La réalité est différente bien sur, mais le bateau se plie un peu.
A mi-parcours, pause baignade et canyoning pour Mimi. Il dévale avec son gilet de sauvetage les petites vaguelettes qui lui donnent quand même des petites sensations ! Après il faut vite (très vite) remonter dans le bateau puisque les dernières sensations approchent à grand pas.
Fun fact, chaque rapide a son petit surnom cocasse. “Jamais deux sans trois”, “La double hélice”, “Le rapide des amoureux”, le capitaine nous en fait part un peu avant, sourire en coin. Il nous explique parfois les raisons. Sinon, nous les comprenons vite.
Debriefing de l’expérience
Ce rafting à San Gil nous a clairement réconcilié avec cette activité que nous trouvions un peu molle et avare en sensation. Nous avons bu des litres d’eau et l’adrénaline nous a tenu compagnie pendant cette aventure.
2 heures de descente, une dizaine de rapides de classe IV et V et de quoi bien s’amuser. Un déjeuner nous attendait à l’arrivée en plus de ça !
Soyons honnêtes, on est bien contents de ne pas être tombés et de ne pas avoir fait la machine à laver dans un creux du fleuve ! Et on vous dit ça, car nous avons rencontré des personnes à qui c’est arrivé dont la réceptionniste de l’auberge.
Comptez 200 000 pesos par personne avec Colombia Rafting Expediciones pour du rafting niveau 5 (soit environ 50€). Un prix très correct qui inclus 2 heures de transports et un déjeuner après l’activité. Si vous avez envie de sensations fortes, on ne vous conseille pas de faire le rafting niveau 2-3, ça risque d’être un tour de boué avec quelques remous. Idéal pour les enfants cependant.
Parapente, tyrolienne, rappel.. les autres activités extrêmes à faire à San Gil
Nous étions à la base venu pour le parapente, malheureusement nous n’avons pas pu le faire à cause du mauvais temps qui a perduré. En fait le problème c’est que même s’il fait soleil à San Gil, dans les autres endroits de la chaîne montagneuse il peut pleuvoir. Très frustrant de voir le soleil de sa fenêtre mais d’être keblo.
Pas de panique, pendant nos jours de pluie à San Gil, nous avons eu le temps de chercher des infos sur les autres activités de haute voltige à faire.
En l’air
- s’envoler en parapente sur le Canyon de Chicamocha : entre 180 000 et 200 000 pesos (soit entre 50 et 65€) les 30 minutes de vols au dessus du Canyon. Ca a l’air vraiment fabuleux et à l’heure où j’écris ces lignes, je maudis encore la météo ;
- pour les plus petites bourses, l’option d’un vol en parapente à Curiti est à envisagé. 100 000 pesos mais seulement 15 minutes de vol et il parait que le paysage vaut moins le coup;
- saut élastique ou bungee jumping pour les bilingues : élancez-vous dans le vide de 70 (80 000 COP) ou 140 mètres (150 000 COP) attaché seulement par le bout des pieds ! Si avec ça, vos poils ne se hérissent pas, on ne sait plus quoi faire.
Sur terre et sous terre
- faire une descente en rappel (abseiling en anglais): à la cascade Juan Curi, il est possible de descendre le long, si ce n’est à l’intérieur, de la cascade en rappel. 180 mètres et y’a pas a dire 1) c’est impressionnant 2) ça mouille. Comptez entre 70 000 et 90 000 COP par personne (15-20€). Possible de réserver directement au parc de la cascade (on y reviendra un peu plus bas) ou auprès de votre auberge qui inclura surement le transport ;
- descente de folie en VTT (mountain biking) : 50 km de descente dans le canyon de Chicamocha en passant par Jordan et Curiti ;
- tyrolienne et parcours accrobranche : c’est ce que vous trouverez à la cascade Juan Curi mais aussi au parc Xplorer ;
- faire de la spéologie (caving): oubliez les reportages sur Arte où vous devez vous glisser dans des boyaux de 3 cm avec tout votre bardas, ici nous parlons de visiter des grottes de manière très accessible. En revanche, je ne vous garantis pas que vous en sortirez blanc comme neige ni que vous ne serez pas mouillé. Antigua Cave et Indio Cave sont les plus connues et se situent à 15 minutes de San Gil à peine. La Cueva de Vaca est sans doute celle qui offre le plus de sensations. Comptez environ 13$ (60 000 COP).
Dans l’eau
- tester l’hydrospeed : si vous vous sentiez trop à l’aise avec le rafting, il est de temps de faire un face à face avec les remous ! Vous pouvez vous lancer sur le Rio Fonce avec un flotteur qui ressemble à un bodyboard, un casque et des palmes. 90K pesos pour 2h de descente (20€). Croyez nous, vous ne voulez pas faire cette activité sur le Rio Suarez. Pour l’anecdote, Mike Horn a commencé sa carrière d’aventurier de l’extrême par de l’hydrospeed ! A bon entendeur ;
- faire du canyoning multi aventures : demander le circuit n°2 qui est composé de falaises et de rappel mais aussi de pont tibétains, mini tyroliennes, saut et autres instruments de tortures en tout genre ! 100K pesos (25€) pour cette activité qui dure quand même entre 4 et 5h ! Si on devrait retourner à San Gil, ça serait sans doute notre top activité avec le parapente et le rafting.
🌸Visiter les villages de Barichara et Guane
Faire du rafting à San Gil c’est génial. Mais votre visite ne serait pas complète sans un petit tour dans les villages populaires de Barichara et Guane. Deux endroits au charme fou qui seront vous séduire pour sûr. Nous n’allons pas rentrer en détail dans cet article là car nous en avons écrit un dédié pour que vous ne passiez à côté de rien !
💧 Petite randonnée pour grande cascade : visiter Juan Curi à San Gil
La cascade de Juan Curi c’est le compromis entre une journée où vous manquez d’ambition de faire une grosse sortie mais en même temps vous avez un peu d’énergie à dépenser. Une petite balade, un peu de fraîcheur et des familles de Colombiens !
Cette cascade aurait aussi inspiré les créateurs d’Encanto pour des scènes de.. cascades ! Dites nous si vous avez été transportés et si vous y avez vu des papillons.
Il faut marcher environ 30 minutes pour accéder à la cascade. C’est un chemin facile qui nous y emmène mais on vous conseille quand même de le faire en chaussures fermées et qui ne craignent pas la salissure ! Sur le chemin, on observe toutes sortes d’insectes colorés.
Arrivés à la cascade et abassourdis par son vacarme, nous observons les lieux pour comprendre son fonctionnement. En bas, un petit bassin pour se baigner avec enfant. Sur la plateforme supérieur où il faut se hisser à l’aide d’une corde et de rochers glissants, 70 mètres de puissance. Ce n’est pas spécialement fait pour la baignade cependant certains courageux la descendent en rappel. On se contentera de franchir le lit avec la petite corde, et déjà, y’a du courant !
Si on a été impressionnés par la force de la cascade, on l’a aussi été par la foule présente sur place. On vous conseille d’y aller après le déjeuner et d’attendre un peu pour en profiter presque seuls. L’entrée coûte 8 000 pesos (soit 2€). Pour y aller, il faut prendre le bus au terminalito en direction de Charala (3 000 pesos le trajet) et demander à descendre à Juan Curi. Ils connaissent.
⛪ Et que faire à San Gil alors à part du rafting ?
La ville de San Gil n’est pas très intéressante. A l’image de toutes les grandes villes de Colombie, elle n’a pas l’air finie. En effet, la plupart d’entre elles se sont construites dans l’urgence, suite à des déplacements de populations fuyant les conflits armés. Ainsi, passé la plaza principale et les rues alentour qui gardent un style colonial, le reste de la ville n’a pas vraiment beaucoup d’âme. Cependant, cela ne signifie pas qu’il n’y a rien à y faire ! Voici donc les 3 activités pour occuper une fin d’après-midi après une session de rafting endiablée.
Visiter le jardin botanique ou le parc naturel El Gallineral
Appelons un chat un chat, tous le monde l’appelle le jardin botanique mais il s’agit du parc naturel El Gallineral. On ne s’attendait pas à quelque chose de fabuleux et pourtant.. nous avons été agréablement surpris par ce joli parc sauvage de San Gil.
Les plantes y sont majestueuses, on apprend à les connaître avec des petits écriteaux régulièrement installés au pied des arbres. Les structures en métal mais aussi les petits ponts traditionnels nous ont séduits et donnent un côté enchanté à ce jardin. On est transporté ailleurs, hors du tumulte de la ville. Sur le parcours, on croise des animaux comme un perroquet coloré ou des tortues prêtes à en découdre pour un morceau de salade.
Enfin, besoin de vous rafraîchir ? Sachez que pour couronner le tout, il y a une piscine à l’intérieur !
Pour entrer dans ce monde enchanté à San Gil, comptez 6000 pesos l’entrée (moins de 2€).
Aller faire les courses au marché pour goûter la spécialité locale
Le marché de San Gil nous fait renouer avec nos bonnes vieilles habitudes du Mexique ou du Pérou. Cela nous a beaucoup manqué de ne pas faire nos courses au milieu de ce joyeux remu ménage et de conclure par un petit menu Del dia !
A San Gil, c’est dedans mais aussi dehors. Les stands commencent même quelques rues en amont du marché. Avocats gros comme notre tête (pour ne pas dire notre cerveau!), guanabanas de la taille d’un œuf d’autruche et autres fruits magnifiques, on a envie de tout ramener à l’auberge pour les cuisiner.
Ne manquez pas de ponctuer votre sortie au marché par une petite dégustation de batido ou de jugo (jus). Au stand Jugos y Batidos Eddy y Choka, un attroupement. Tout le monde a une boisson à la main. On nous propose la spécialité locale, on se laisse tenter et c’est une boisson jaune qui nous est donnée, un Batido avec deuxième round gratuit pour 3000 pesos.
quien no ha tomado batido no ha venido
Il y a un peu d’alcool à l’intérieur sans doute. On sent de l’anis, de la vanille, du lait, des oeufs, surement des fruits. La recette est tenue secrète !
Autre préparation très connue à San Gil et Guane, le Sabajon : Aguardiente, lait concentré, vanille et lait. Typique de la région ! Servi en général pour les fêtes, ça ressemble un peu à du Bailey. A tester !
Parque de Libertad, Catedral Santa Cruz et espadrilles
Le Parque de Libertad, c’est la place principale du village, le cœur névralgique de la ville. C’est là où se passe tous les évènements de la municipalité et les fêtes religieuses. Bref, pour vous immerger dans le quotidien d’un San Gilois, prenez place sur l’un des bancs et observez une obleas ou une glace à la main.
Quelques statues servent de terrain de jeu pour les enfants, les vendeurs de rue sont là et enfin les portes de la cathédrale sont ouvertes. On a l’impression qu’elles sont tous le temps ouvertes.
A quelques rues de là, près du marché se trouve un vendeur de chaussures un peu particulier. La spécialité de la maison ? Les espadrilles à la San Gil / Barichara. Presque comme au Pays Basque à une, ou plutôt deux, différences près : elles sont ouvertes devant et derrière. Les espadrilles du Centro Artesanal URIBE sont un bon cadeaux à se faire ou à ramener pour les copains et la famille ! Faites main, vous avez un certain choix de motifs en fonction de votre pointure de 20 000 à 40 000 COP la paire.
Se rafraîchir au Pozo Azules
San Gil, c’est un climat de montagne. Il peut faire vraiment chaud ou froid, ou pleuvoir. Les Pozo Azules, c’est la bonne idée fraîcheur à moins de 15 minutes à pieds du centre ville.
Le chemin n’est pas la balade de l’année, on vous conseille même d’y aller plutôt en taxi (maximum 5000 pesos la course) car vous allez longer le bord de la route. Arrivés sur place, ne restez pas à l’entrée mais grimpez un peu plus haut sur les autres pozos pour y être plus tranquille. Nous étions seuls dans notre bain, agréable et rafraîchissant. C’était vraiment chouette pour clore une journée en beauté, et ça gratuitement, c’est ça qu’on veut non ? 🙂
🛌 Où dormir à San Gil ?
L’offre hôtelière de San Gil est plutôt développée. L’avantage, c’est donc qu’il y en a pour toutes les bourses. Attention cependant à ne pas être trop excentré de la ville et à rester du côté de la Plaza de la Libertad (place centrale), au risque de devoir prendre un taxi pour chaque chose à faire.
On vous conseille chaudement l’auberge où nous sommes allés ! Son nom ? Macondo Hostel . Le personnel est absolument adorable, de très bons conseils, il y a un jacuzzi et une grande terrasse pour se poser même un jour de pluie. Pour couronner le tout, c’est très propre et la cuisine est sans doute l’une des mieux équipées de notre voyage tout entier.
Comptez 64 000 pesos (16€) la nuit pour une chambre privée avec salle de bain partagée. Si celui-ci est complet, nos amis de rafting nous ont recommandé le Trip Monkey Hostel.
🍽 Que manger à San Gil ?
Comme vous l’avez compris, nous avons pas mal cuisiné à San Gil, puisque notre auberge avait une grande cuisine et que nous avions trouvé un chouette marché pour faire nos provisions. Mais cela ne nous a pas empêché de découvrir quelques menus Del dia aux alentours afin de vous partager ces bonnes adresses :
- Colonial Market Work : pour le petit déjeuner ou pour se poser l’après midi, les gaufres sont très bien garnies et le wifi fonctionne super bien pour travailler avec des prises sur les murs bien disposées ;
- Bendito Sabor pour son menu Del dia super qualitatif et l’un des moins chers de la ville !
Sinon, voici une petite liste des spécialités colombiennes à y goûter :
- les fourmis : avec leur grosses fesses vous ne pouvez pas les louper de toute façon c’est l’emblème de la ville ;
- des Obleas : sur la place principale, une sorte de gaufrette avec du dulce de lèche (Arequipe) dedans.. c’est super sucré !
- la Carne Oreada : du bœuf fumé;
- une Arepa Santandereana : une déclinaison locale dont ils sont très fiers !
Pour information, vous n’avez pas le droit de boire de l’alcool dans l’espace public et c’est d’autant plus vrai sur le parc de la place principale. Les policiers sont compréhensifs mais vous rappelerons à l’ordre et vous demanderons gentiement d’aller dans les petits troquets ou épiceries pour consumer votre breuvage.
🚌Comment se rendre et se déplacer à San Gil ?
Se rendre à San Gil est assez simple avec les transports publics depuis Bucaramanga ou Santa Marta. Comptez 20 000 COP depuis le terminal de bus de Bucaramanga pour 2 heures de trajet dans un paysage très scènique.
❤Conclusion : est ce qu’on s’ennuie à San Gil en Colombie ?
Nous pensions y rester deux jours. Finalement c’est presque 1 semaine que l’on a passé à San Gil ! On recommande vraiment cette destination pour les amateurs de sensations fortes qui vont y trouver leur bonheur quasi à coup sûr.
Attention cependant à la saison des pluies qui peut vous handicaper voir annuler certaines activités. Ainsi, si vous voyagez entre les mois de Avril à Novembre, ce n’est peut être pas une bonne idée de visiter San Gil, surtout si vous avez peu de temps.
Les villages de Barichara et Guane sont vraiment magnifiques et valent à eux seuls une visite dans cette belle région du Santander. On vous invite à l’inclure sur vous remonter depuis Bogota sur Santa Marta par exemple (ou l’inverse).
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